Discussion:Yann Fouéré

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Sous-préfet[modifier le code]

Il me semble que Fouéré a été nommé sous-préfet de Morlaix en 1938. Je vérifie rapidement. En tout cas, il n'était certainement plus à ce poste en 1945. Pierre. Il ne peut plus être à la direction de "La Dépêche" après septembre 1944: Libération de Brest.

Bonjour,

Il a été nommé sous préfet par interim par Vichy dès le début de l'été 1940.

Qui a écrit ceci ? Pas de trace. Ça reste ENORMEMENT douteux. En plus si on y rajoute le motif grossier de sa démission.--Totorvdr59 (discuter) 13 octobre 2020 à 14:21 (CEST)[répondre]

La Dépêche[modifier le code]

Il ne peut plus être à la direction de "La Dépêche" après septembre 1944: Libération de Brest.

Vu. L'article sur La Dépêche a été revu par mes soins. --Totorvdr59 (discuter) 13 octobre 2020 à 14:21 (CEST)[répondre]

Titre de l'article[modifier le code]

Les conventions WP sur les titres demandent de mettre comme titre le nom sous lequel le personnage est connu. [5] (voir le point 1.3) « Pour une personne, on donne les prénoms et nom ou pseudonyme sous lesquels elle est la plus connue. » Filip Phloppe (d) 2 avril 2009 à 22:20 (CEST)[répondre]

Seconde Guerre Mondiale[modifier le code]

Les amis et les proches de Yann Fouéré contestent vivement cette article. Il est extrêmement tendancieux et cherche à présenter Yann Fouéré comme un collaborateur, charge rejette par Le Tribunal Militaire de Paris en 1955.[1] Certaines des sources ne sont pas vérifiables et il est a constater que les ennemis de la revendication bretonne n'hésitent pas à manier la désinformation et les amalgames.[2] En ce qui concerne la fameuse liste des agents de la Gestapo en Bretagne prétendument découverte en 2001 par deux chercheurs, les véritables historiens de cette période savent que cette liste, connue en fait depuis longtemps, n'a strictement aucune valeur et n'est jamais prise en considération dans leur travaux.[3] Pendant la « drôle de guerre », Yann Fouéré coordonne dans le maquis administratif du ministère de l'intérieur les multiples démarches nécessaires à l'obtention de visas, ce dont il fait bénéficier plusieurs connaissances faites grâce à sa revue ‘Peuples et Frontières’.[4] [5]

Qui intervient ici ? avec quelles intentions ? J'ai relevé, en cherchant qui est ce mystérieux Fouéré, l'incompatibilité d'humeur entre Françoise Morvan (archéologue dérangeante de la bretonitude) et Yves Mervin (défenseur de tout crin du personnage en cause).--Totorvdr59 (discuter) 13 octobre 2020 à 14:21 (CEST)[répondre]

Petit changement[modifier le code]

En passant, j'ai enlevé la mention du "résistant" Joseph Martray, qui n'est entré dans Défense de la France, sauf erreur, qu'en juillet 1944. Avant, il avait tranquillement été l'adjoint de Fouéré, lequel n'était pas précisément un résistant de la première heure à l'Occupation allemande. Alain Derrien (d) 10 juillet 2009 à 20:08 (CEST)[répondre]

sauf erreur, écrit Alain Derrien...

Voici ce que l'on trouve dans l'article Joseph Martray: Membre du réseau de résistance « Défense de la France », Joseph Martray reçut en 1943 l'aval des responsables de son réseau pour prendre le poste de rédacteur en chef du journal finistérien La Dépêche qui lui était proposé. Les responsables résistants veillaient à placer ou à bénéficier de gens de confiance à certains postes clés[6][7] [8] [9]. 90.12.100.24 (d) 5 octobre 2009 à 18:09 (CEST)[répondre]

Notes et références[modifier le code]

  1. Jugement No 62 de La Première Chambre du Tribunal Permanent des Forces Armée de Paris. No 601 d'ordre annuel; No 2001 de la Séries Général.
  2. Yves Mervin, Arthur et David Bretons et juifs sous l'occupation -Yorann Embanner 2011 (ISBN 9782916579382)
  3. Bernard le Nail, article Agence Bretagne Presse du 11/07/2008
  4. Yves Mervin, idem pp 264-265
  5. Yann Fouéré, La Patrie Interdite, Fondation Yann Fouéré, 2011 p128 (ISBN 9782952969437)…"le bruit de mes démarches finit par se répandre parmi ceux qui s'intéressaient au sort des réfugiés de toute sorte et de toutes nationalités d'Europe centrale et de l'Europe de l'est et qui cherchaient à les aider.... La plupart d'entre eux étaient des juifs réfugiés d'Europe centrale depuis de longs mois déjà mais qui ne possédait pas de nationalité nouvelle ou le statut d'apatride, et qui voulait fuir une France menacée de la même invasion dont avait déjà souffert leur pays respectifs. Là encore, j'obtins un certain nombre de résultats positifs. Je réussis notamment à obtenir in extrémis le visa de sortie d'un israélite, mari de la cantatrice Ida Franca…. « 
  6. [1]
  7. [Jean-Jacques Monnier , entretien, "Ouest-France", jeudi 22 novembre 2007:"Joseph Martray (...) était missionné par la Résistance pour infiltrer le quotidien La Dépêche et empêcher qu'elle ne publie les photos des résistants recherchés. Il en devint rédacteur en chef."[2]
  8. "Ouest-France", mercredi 3 juin 2009, "Membre du réseau de Résistance « Défense de la France », Joseph Martray obtient, en 1943, l'aval de ses chefs pour prendre le poste de rédacteur en chef du journal finistérien La Dépêche [3]
  9. "Le Télégramme", 3 juin 2009 , "Membre du réseau de résistance «Défense de la France» pendant la guerre" [4]
Que vient faire Martray ici ? On veut lancer des fumigènes ?--Totorvdr59 (discuter) 13 octobre 2020 à 14:21 (CEST)[répondre]

Note en passant[modifier le code]

On lit dans le journal l'Avenir de la Bretagne, animé par Fouéré, pendant une campagne pour la libération des poseurs de bombes du FLB, en manchette, le 10 avril 1969 (n°41, nouvelle série) : "A notre tour nous avons pris les armes, nous étions sûrs de la défaite, mais convaincus de la nécessité de notre geste. S'il le faut, nous mourrons pour que la Bretagne mérite son indépendance". On pourrait imaginer que cette phrase grandiloquente est prononcée par un des membres du FLB. Il n'en est rien. Le journal la signe : "Léon Jasson, Patriote breton fusillé par les Français le 17 juillet 1946". — Il y a donc une volonté délibérée de la part de Fouéré de se revendiquer de l'un des pires tortionnaires du Bezen Perrot, qualifié ici de "patriote breton", et de faire un lien de continuité entre les deux "armées bretonnes"... — Cette petite citation, trouvée par hasard, montre mieux qu'un long discours le fondement théorique et historique du militantisme d'un homme que d'aucuns s'obstinent à présenter comme un "modéré". Alain Derrien (d) 5 août 2009 à 15:10 (CEST)[répondre]

Cette note a été enlevée par un anonyme, preuve qu'elle importe. Le texte est sourcé, il est indiscutable, il ne doit donc pas être occulté. Alain Derrien (d) 4 octobre 2009 à 08:47 (CEST)[répondre]

Mary Sommeau[modifier le code]

Je retire les modifications de l'utilisateur Mary Sommeau (d · c · b), qui me semble reprendre le nom d'un autre utilisateur de longue date, celui-ci, Sammy Moreau (d · c · b). N'y aurait-il pas là, dans la méthode, très reconnaissable, un retour de l'ineffable Kergidu (d · c · b), banni de Wikipedia à de nombreuses reprises, et dont les interventions ont fait perdre tant de temps à chacun ? Alain Derrien (d) 25 octobre 2011 à 16:49 (CEST)[répondre]

en attendant, j'ai révoqué vos modifications qui consistaient entre autres en la suppression de refnecs et au rétablissement de fautes d'orthographe... - Bzh99(d) 25 octobre 2011 à 17:04 (CEST)[répondre]